N°172 : la micro-cogénération couplée au photovoltaïque permet-elle d’accéder à des hauts de niveaux de performance énergétique ?
N°168 : Pour une cogénération de 7 kWe et 20 kWth, un ballon d’inertie de 500 litres est-il suffisant ?
N°162 : L’électricité exportée, produite par une cogénération gaz, est-elle prise en compte dans le bilan BEPOS du référentiel E+C- ?
N°159 : La mise en place d’un réchauffeur de boucle, est-elle pertinente pour améliorer les performances de la chaudière assurant la production d’eau chaude sanitaire ?
Non. En l’état actuel de l’offre, le rendement du réchauffeur de la boucle ECS demeure identique voire légèrement inférieur à celui de la chaudière collective assurant la production d’eau chaude sanitaire. Au regard de l’absence de gains énergétiques, il demeure préférable de traiter les pertes de bouclage...
N°158 : L’installation de rooftops adiabatiques dans des locaux de grand volume est-elle rentable ?
Oui, bien que le choix de technologies adiabatiques génère un surcoût d’investissement, ce surinvestissement est compensé en quelques années par un coût de fonctionnement moindre.
N°157 : La pile à combustible est-elle la solution de micro-cogénération la plus aboutie en termes d’efficience énergétique ?
N°138 : Le rendement global d’une chaudière collective sera-t-il meilleur avec une installation ECS en semi-accumulée par rapport à une installation en semi-instantanée ?
Oui, une de production d’eau chaude sanitaire assurée par semi-accumulation permettra obtenir un meilleur rendement global de la chaudière en comparaison d’une production en semi-instantanée.
N°136 : Renforcer l’isolation d’un bouclage ECS permet-il un vrai gain énergétique ?
Oui, le gain énergétique entre la mise en œuvre d’un isolant de classe 6 par rapport à un isolant de classe 2, sur un réseau de distribution d’eau chaude sanitaire, est de l’ordre de 50%.