
N°163 : Dans un ERP de la 1ère à la 4ème catégorie, est-il nécessaire de contrôler les réseaux enterrés ?

N°162 : L’électricité exportée, produite par une cogénération gaz, est-elle prise en compte dans le bilan BEPOS du référentiel E+C- ?

N°159 : La mise en place d’un réchauffeur de boucle, est-elle pertinente pour améliorer les performances de la chaudière assurant la production d’eau chaude sanitaire ?
Non. En l’état actuel de l’offre, le rendement du réchauffeur de la boucle ECS demeure identique voire légèrement inférieur à celui de la chaudière collective assurant la production d’eau chaude sanitaire. Au regard de l’absence de gains énergétiques, il demeure préférable de traiter les pertes de bouclage...

N°158 : L’installation de rooftops adiabatiques dans des locaux de grand volume est-elle rentable ?
Oui, bien que le choix de technologies adiabatiques génère un surcoût d’investissement, ce surinvestissement est compensé en quelques années par un coût de fonctionnement moindre.

N°157 : La pile à combustible est-elle la solution de micro-cogénération la plus aboutie en termes d’efficience énergétique ?

N°138 : Le rendement global d’une chaudière collective sera-t-il meilleur avec une installation ECS en semi-accumulée par rapport à une installation en semi-instantanée ?
Oui, une de production d’eau chaude sanitaire assurée par semi-accumulation permettra obtenir un meilleur rendement global de la chaudière en comparaison d’une production en semi-instantanée.

N°136 : Renforcer l’isolation d’un bouclage ECS permet-il un vrai gain énergétique ?
Oui, le gain énergétique entre la mise en œuvre d’un isolant de classe 6 par rapport à un isolant de classe 2, sur un réseau de distribution d’eau chaude sanitaire, est de l’ordre de 50%.

N°126 : Le tarif d’achat d’électricité C16 pour les cogénérations est-il plus avantageux que l’ancien contrat C13 ?

N°120 : Les performances acoustiques réelles d'une PAC absorption aérothermique sont-elles en accord avec celles mesurées en laboratoire ?
Oui, les valeurs mesurées à 1 m d’une PAC absorption aérothermique sont très proches de celles mesurées en laboratoire. Par ailleurs, aucune émergence de bruit notable n’a été identifiée suite à l'instrumentation de 2 sites où les PAC absorption étaient en fonctionnement.
